Master thesis opportunity on biodiversity conservation in Finnish protected areas
A master thesis opportunity in conservation biology is available at the University of Turku (Finland)
Protected areas are the main instrument used to protect biodiversity. However, they are subject to different threats
and their designation is often not enough to guarantee effective conservation. In particular, Finnish protected areas
suffer from silviculture, agriculture, climate change and more. Management actions can counteract these threats
and actively improve the habitat of species. Implemented management actions can differ between areas, depending
on which habitat or species they target and which threats they aim to counteract. With this project we aim to better
understand the management actions implemented in Finnish protected areas, in order to inform future
management planning.
Research questions:
• What type of management measures are implemented for biodiversity conservation in Finland?
• Have they been effective in counteracting biodiversity loss?
• Which threats to biodiversity do they counteract? Which threats are left unaddressed?
You will work with a database compiled by Metsähällitus on all management actions carried out in Finland since
1990s. The impact of these measures on biodiversity will be tested by using species-specific monitoring data.
Different types of statistical analysis, including generalized linear mixed models, will be used. You are also welcome
to develop your own study questions!
With this thesis you will dive deep into the different conservation issues in Finland, and you will also acquire
technical and analytical skills such as working with large datasets and spatial analysis.
The project should start the latest in March 2026 and not last more than 6 months.
For more information contact:
Giorgio Zavattoni, giorgio.zavattoni@utu.fi, University of Turku
Leonie Jonas, leonie.jonas@utu.fi, University of Turku
Après un M2 étho, éco, and coe
Vous venez de réussir votre master 2 éthologie, écologie, and coe, ce blog est le vôtre! Il vous permet de retrouver différentes offres de PhD, emplois, stages, et même post doc pour les "anciens"... Outil de mise en réseau des informations, ce blog offre à chacun de la liberté de participer et ainsi permettre à tous de trouver au plus vite sa prochaine étape professionnelle. Si vous avez une offre à poster, transmettez la à : marine.grandgeorge@univ-rennes1.fr
vendredi 28 novembre 2025
Master thesis opportunity on biodiversity conservation in Finnish protected areas
Offre de stage M2
Offre de stage Master 2 :
Mesurer le dérangement anthropique chez les limicoles : influence de la composition spécifique des groupes.
Encadrement :
Glenn Le Floch, doctorant, UMR ISYEB, Muséum national d’Histoire naturelle
Michel Baguette, Professeur MNHN, UMR ISYEB
Vincent Bels, Professeur émérite MNHN
Organisme d’accueil : UMR ISYEB (MNHN, CNRS, EPHE, SU, Université des Antilles)
Lieu : Station marine de Dinard, Dinard (35800)
Durée : 5 à 6 mois
Période : Janvier à Juin
Contexte
Le stage s’inscrit dans un projet de doctorat portant sur l’écologie comportementale et évolutive des associations interspécifiques d’oiseaux limicoles (Aves, Charadriiformes) en migration et hivernage. Dont l’objectif est de qualifier et quantifier les regroupements inter-espèces de limicoles, et de comprendre les facteurs influençant ces rassemblements, qu’ils soient écologiques, éthologique, morpho-anatomiques ou acoustiques.
Les côtes bretonnes constituent des haltes migratoires ou des sites d’hivernage essentiels pour de nombreuses espèces de limicoles. Ces oiseaux doivent reconstituer des réserves d’énergie importantes après le voyage migratoire, ce qui rend crucial le temps consacré à l’alimentation et la qualité des ressources disponibles. Or, ces zones littorales sont soumises à des pressions humaines fortes : pêche à pied, réserve de chasse, promenades, chiens, conchyliculture, activités touristiques et loisirs etc. Ces activités pouvant générer des perturbations « aléatoires » car difficilement prévisible par l’individu. Elles peuvent donc affecter directement le comportement des limicoles, notamment leur capacité à se nourrir efficacement avec un accroissement du temps alloué à la vigilance ainsi que leur choix de rester ou non sur site.
Les perturbations humaines peuvent modifier l’expression de certains comportements des oiseaux.
La distance de fuite peut varier fortement selon l’espèce, le type perturbation, son intensité et sa fréquence. Elles peuvent également engendrer des coûts énergétiques accrus : déplacements répétés, perte de temps alloué à la recherche alimentaire, augmentation du temps de vigilance… Ce qui constitue un impact potentiellement critique sur un budget énergétique restreint.
Les limicoles forment parfois des groupes mono- ou interspécifiques. Ces regroupement inter-espèces peuvent offrir des avantages : meilleure détection des menaces (effect « many-eyes »), meilleurs apprentissages d’indices de danger, moindre investissement individuel dans la vigilance permettant de consacrer plus de temps en nourrissage. Il y a aussi des coûts potentiels : augmentation de la compétition interspécifiques ou intraspécifique pour les ressources alimentaires, surtout quand les proies sont limitées. Quand la disponibilité alimentaire est faible, es oiseaux peuvent modifier leur usage de l’espace (réduire le chevauchement de domaine vital) ou ajuster la réponse comportementale sociale pour minimiser la compétition.
Un autre aspect est que les contextes de forte perturbation humaine, les bénéfices des groupes mixtes peuvent être particulièrement importants : par exemple pour détecter plus tôt les perturbations (ex : promeneurs, chiens), anticiper la fuite, ou choisir les moments ou zones de nourrissage plus sûres.
Objectifs du stage :
Le stage vise à :
1. Caractériser la composition spécifique et la richesse des associations de limicoles sur différents sites du littoral breton présentant des niveaux contrastés de fréquentation humaine (zones ostréicoles, sites touristiques, réserves, zones peu accessibles, etc.).
2. Tester les effets des perturbations anthropiques (pêche à pied, présence de promeneurs, chiens, activités ostréicoles, etc.) sur les comportements de vigilance et de fuite, ainsi que sur les distances de fuite spécifiques selon le contexte « social » (groupes mono- vs interspécifiques).
3. Évaluer l’impact des activités humaines sur l’utilisation de l’espace intertidal par les limicoles, notamment à travers l’analyse des changements de répartition spatiale, du budget temps (alimentation vs vigilance), et des latences de retour à l’alimentation après perturbation.
Missions :
- Elaboration du/des protocoles de recherche
- Acquisition de données sur le terrain (en direct et/ou capture vidéo)
- Encodage comportemental (vidéo – ex. BORIS)
- Analyse statistique des données
- Interprétation et rédaction d’un rapport
Valorisation :
- Participation à la rédaction d’un article scientifique en vue d’une publication.
Profil
- Étudiant·e en Master 2 d’écologie, éthologie, biologie de la conservation ou disciplines proches.
- Solides compétences en identification ornithologique, en particulier des limicoles côtiers.
- Goût marqué pour le travail de terrain, parfois dans des conditions météorologiques variables.
- Esprit d’équipe, autonomie et rigueur dans la collecte et le traitement des données.
- Capacités d’analyse et de synthèse dans l’interprétation des observations comportementales.
- Connaissances de base en statistiques et en analyses sous R
- Une expérience préalable en codage comportemental à partir de vidéos (logiciels tels que
BORIS ou équivalents) appréciée.
Contacts :
Glenn Le Floch – glenn.lefloch@mnhn.fr
Michel Baguette – michel.baguette@mnhn.fr
Vincent Bels – vincent.bels@mnhn.fr
Bibliographie indicative :
Cestari. (2015). Coexistence between Nearctic-Neotropical migratory shorebirds and humans on urban beaches of the Southern Hemisphere: a current conservation challenge in developing countries. Urban Ecosystems. https://doi.org/10.1007/s11252-014-0399-3
Linssen, H., van de Pol, M., Allen, A.M. et al. Disturbance increases high tide travel distance of a roosting shorebird but only marginally affects daily energy expenditure. Avian Res 10, 31 (2019). https://doi.org/10.1186/s40657-019-0171-8
jeudi 27 novembre 2025
PhD positions: “Improving human–wildlife coexistence”
PhD positions: “Improving human–wildlife coexistence”
University of St Andrews, UK
closing date: 06 January 2026
https://www.findaphd.com/phds/project/improving-human-wildlife-coexistence/?p192106
Are you interested in movement ecology, animal tracking, human–wildlife interactions, conservation science, and/or environmental planning? There is an exciting opportunity to contribute to a major new project on sustainable human–wildlife coexistence in terrestrial environments, developed in close partnership with the National Geographic Society.
For further details and information on how to apply, please see the advert on FindAPhD (see link above).
Informal enquiries can be sent, with CV, to the project lead and supervisor, Professor Christian Rutz (christian.rutz@st-andrews.ac.uk).
lundi 24 novembre 2025
TWO fully-funded PhD OPPORTUNITIES at the University of Bristol



