Programme IPEV 119 « ECONERGIE »
Responsable R. Groscolas, DEPE/IPHC Strasbourg
E-mail : rene.groscolas@c-strasbourg.fr
Tel : 03 88 10 69 23
Formation requise
Titulaire au minimum d’un Master français ou étranger dans le domaine de l’écologie, physiologie ou comportement; vétérinaire.
Responsable R. Groscolas, DEPE/IPHC Strasbourg
E-mail : rene.groscolas@c-strasbourg.fr
Tel : 03 88 10 69 23
Formation requise
Titulaire au minimum d’un Master français ou étranger dans le domaine de l’écologie, physiologie ou comportement; vétérinaire.
Expérience : du terrain et de la manipulation/observation d’animaux. Mise en œuvre d’un protocole de recherche.
Qualités exigées : Esprit scientifique ; autonomie, organisation ; sens du dialogue, de la vie en communauté ; sens pratique et du bricolage ; bon feeling avec les animaux ; bonne résistance physique ; compétences en informatique.
Doivent s’abstenir : touristes-photographes, écolos intégristes, vétos bourrés de certitudes, fêtards, etc…
Mission: Le (la) candidat(e) participera à une mission scientifique d'un an environ dans les TAAF (Iles Crozet), au sein d'un groupe d'une trentaine de personnes (de novembre 2009 à décembre 2010).
Son travail s'intégrera dans un programme de recherche développé par une équipe du CNRS (Strasbourg) et soutenu par l'IPEV. Ce programme porte sur les « Adaptations énergétiques et comportementales aux contraintes nutritionnelles et environnementales » chez le manchot royal adulte en reproduction, et chez le poussin en croissance.
Le travail consiste en marquages et suivis d’animaux, équipement avec des capteurs-enregistreurs de données (température, fréquence cardiaque, activité), observations comportementales visuelles et par vidéo, prises de sang, suivi climatologique, mesure de consommation d’oxygène, collecte d’échantillons tissulaires sur animaux victimes de prédateurs. L'essentiel de l’activité se fait sur le terrain, au sein d'une colonie de reproduction de manchots royaux, et s'étale sur l'année, c'est à dire dans des conditions climatiques variables. Un travail en laboratoire (traitement d’échantillons) est également prévu.
Pendant l'été austral (décembre-mars) le VCAT travaille au sein d'une équipe de 3-4 personnes. En hiver, il assure seul la réalisation du programme en interaction étroite avec son responsable en métropole. Le travail réalisé peut servir de stage de recherche et les résultats obtenus sont utilisables pour la soutenance d'un diplôme. Un stage de préparation à l’hivernage puis de dépouillement des données post-hivernage, de 8 semaines maximum, est prévu.