Les passages à faune, éléments du paysage favorisant la dispersion des micromammifères
Niveau souhaité : L3-M1 en biologie
Durée : de 1 à 2 mois (entre avril et septembre 2016)
Encadrant : Jonathan Jumeau (CNRS) et Maéva Eymaron (CD67)
Lieu du stage : Conseil Départemental du Bas-Rhin
Laboratoire d’accueil : IPHC (Département d’Écologie, Physiologie et Éthologie) Strasbourg Contact : Jonathan Jumeau, tel 06 07 62 33 63, mail : jumeau.jonathan@gmail.com
Contexte : La fragmentation écologique causée par la mise en place d’infrastructures routières participe au déclin de la biodiversité. En effet, en réduisant ou en interdisant les mouvements de faune de part et d’autres des routes, les infrastructures induisent une augmentation de la consanguinité et de la dérive génétique. Afin de pallier à ce problème, des passages à faune sont construits sur ou sous les voies permettant la traversée des animaux et donc un brassage génétique. L’utilisation de ces ouvrages d’art par la faune est relativement bien connue. Des suivis d’efficacité sont régulièrement mis en place et consistent en l’installation d’appareils photos à l’intérieur des passages. Cependant, un passage à faune est dit efficace s’il permet de maintenir une diversité génétique suffisante et s’il permet la dispersion des individus, ce qui n’est pas mesurable à l’aide d’appareils photos.
Le but de ce stage est l’étude de la dispersion des micromammifères de part et d’autres de tronçons routiers équipés ou non de passages à faune à l’aide d’un protocole de Capture-Marquage-Recapture.
Travail attendu : Le candidat participera au protocole de Capture-Marquage-Recapture réalisé dans le but d’évaluer le déplacement des micromammifères au niveau des passages à faune d’une route départementale (travail de nuit prévu).
Profil du stage : Ce stage de terrain convient à un étudiant (L3 ou M1) suivant une formation en écologie / biologie, qui souhaite travailler sur le terrain, développer ses compétences associées aux micromammifères, et apprendre les techniques de CMR en participant activement au protocole.
Niveau souhaité : L3-M1 en biologie
Durée : de 1 à 2 mois (entre avril et septembre 2016)
Encadrant : Jonathan Jumeau (CNRS) et Maéva Eymaron (CD67)
Lieu du stage : Conseil Départemental du Bas-Rhin
Laboratoire d’accueil : IPHC (Département d’Écologie, Physiologie et Éthologie) Strasbourg Contact : Jonathan Jumeau, tel 06 07 62 33 63, mail : jumeau.jonathan@gmail.com
Contexte : La fragmentation écologique causée par la mise en place d’infrastructures routières participe au déclin de la biodiversité. En effet, en réduisant ou en interdisant les mouvements de faune de part et d’autres des routes, les infrastructures induisent une augmentation de la consanguinité et de la dérive génétique. Afin de pallier à ce problème, des passages à faune sont construits sur ou sous les voies permettant la traversée des animaux et donc un brassage génétique. L’utilisation de ces ouvrages d’art par la faune est relativement bien connue. Des suivis d’efficacité sont régulièrement mis en place et consistent en l’installation d’appareils photos à l’intérieur des passages. Cependant, un passage à faune est dit efficace s’il permet de maintenir une diversité génétique suffisante et s’il permet la dispersion des individus, ce qui n’est pas mesurable à l’aide d’appareils photos.
Le but de ce stage est l’étude de la dispersion des micromammifères de part et d’autres de tronçons routiers équipés ou non de passages à faune à l’aide d’un protocole de Capture-Marquage-Recapture.
Travail attendu : Le candidat participera au protocole de Capture-Marquage-Recapture réalisé dans le but d’évaluer le déplacement des micromammifères au niveau des passages à faune d’une route départementale (travail de nuit prévu).
Profil du stage : Ce stage de terrain convient à un étudiant (L3 ou M1) suivant une formation en écologie / biologie, qui souhaite travailler sur le terrain, développer ses compétences associées aux micromammifères, et apprendre les techniques de CMR en participant activement au protocole.